Ce récit écrit en 1829 sera placé, plus tard, par Balzac en ouverture de la Comédie humaine. On y retrouve la trame de ce que seront les romans la composant et l’on y croise déjà les héros des autres épisodes.

Tout y préfigure la grande oeuvre de Balzac : les descriptions minutieuses, l’analyse profonde des sentiments, l’histoire dramatique. C’est, en ces quelques pages, une miniature parfaite de tout ce qui suivra.

La Maison du chat qui pelote, titre définitif que donna Balzac à cet ouvrage avait, à l’origine, été intitulé Gloire et Malheur. Il s’y joue le destin d’une femme, que tout favorise. Mais l’amour peut-il résister, au fil des ans, à la différence de classe ?

Questions actuelles que Balzac, comme toujours avec son génie, pose et auxquelles il répond, nous montrant que finalement, aujourd’hui comme hier, rien n'a changé !